La naissance d'un projet de sauvetage

 

La visite aux Pays Bas 

 

Tout commence par une visite aux Pays Bas, précisément à Nimègue,
dans l'est du pays à la frontière avec l'Allemagne : très bucolique !  

 

 

La voiture est entreposée au bord du Waal, rivière faisant partie du delta du Rhin.

 

 

Les photos envoyées par le vendeur ne laissaient que peu de doutes sur l'état de la voiture.
Une calandre d'XK140 ?!

Chacun appréciera...

 

 

 

 

Passage sur le pont. Les dessous de l'auto ne dépareillent pas non plus.

 

 

 

 

 

Pas mieux ...

 

 

 

 

Tiens une boite automatique sur une XK120 ! Notez les rivets pop qui tiennent
une partie de la tôle pare-feu rajoutée après découpe de cette dernière 

 

 

 

 Le moteur dans une caisse à coté du véhicule.

Affaire conclue - La livraison à Bordeaux quelques semaines après

 

 

 

 

 La bête a du mal à descendre du plateau.

 

Un passager surprise : le moteur est posé sur les sièges. Il n'y a pas de petit profit !

 Bon, que fait-on maintenant ?

 

Le système D ! Quelques tubes d’échafaudage feront l'affaire. Ce n'est pas demain que 

l'on attèle le catamaran à notre XK !

 

 Deux heures après et quelques efforts, le gros moteur XK est extrait.

 

 

 

 

 

Vous avez dit Tristounet ? Je confirme. Où est le carter inférieur ?

 

 

 

Vue de l'intérieur de l'habitacle. Le tableau de bord est recouvert avec de la moleskine noire. 

 

Le reste de l'habitacle. Notez le radiateur de refroidissement d'huile de la boite
automatique sur le siège avant bien emballé dans une feuille de plastic.
Le vendeur était précautionneux ! Les garnitures de porte en moleskine
noire et surtout les horribles sièges en skaï blanc. Ne parlons pas de leur état.

 

Admirez le travail de bricolage : l'énorme pédale de frein greffée à la places des pédales
d'origine dont les trous de passage à travers la tôle pare-feu sont bouchés
avec de la tôle galvanisée (attention à la corrosion !)
tenue par des rivets pop. Bref du grand art.