Travail sur le pavillon et la baie de pare-brise

 

 

 Après décapage par ponçage et sablage de certaines parties du
pavillon qui étaient corrodées.

 

 

 

 

 

Tout l'entourage des pare-brises était travaillé à l'étain en usine
et à la main !

 

 

 

 

 

Les mites sont passées par là. Du travail de tôlerie en perspective...

 

 

 Changement en cours des parties endommagées.

 

 

 

 

 Meulage en cours des cordons de soudure sur le montant de pare-brise.

 

 

 

 

 

 

La partie haute n'est pas épargnée. Notez les traces de soudure par brasage du pilier
central révélées par le sablage.

 

 

 

 Après réparation du haut de la baie de pare-brise et application de l'apprêt primaire phosphatant
sur toute sur la face interne du pavillon.

 

 

 

 

 Les entrées des glaces arrière sont salement rongées par la
corrosion. Là également, on change tout ce qui est abîmé.

 

 

 

 

Le coté gauche n'a rien à envier au coté droit...

 

 

 

 

 

 

 

 Après avoir dessoudé la feuillure interne (les trous de perçage
pour faire sauter les points de soudure sont visibles). La partie
basse de la baie a été changée.

 

 

 

 

 Une nouvelle pièce est fabriquée puis apprêtée.

 

 

 

 

 

 

 

 Résultat après soudure sur le pavillon et meulage. Pas si mal !

 

 

 

 

Le même travail coté droit. Plutôt propre !

 

 

 

 

 
Les gouttières du toit sont fixées d'origine avec des rivets pop
sur le pavillon et non soudées ! L'humidité s'infiltrant entre
les tôles, elles étaient salement amochées. Cette pièce étant
introuvable, il a fallu découper les parties percées ou trop
corrodées pour les changer. Ici, la partie arrière gauche 

refixée sur l'entrée rénovée précédemment (photo ci-dessus).

 

 

 

 

 L'ensemble positionné à blanc sur la droite du pavillon avant
apprêt primaire. Un grand ouf de soulagement car la partie n'était
pas gagnée d'avance. Un mastic souple de carrosserie viendra assurer
l'étanchéité entre les tôles en contact lors du montage final.